Et si Vladimir Poutine s’était lourdement trompé ?
Et s’il avait été dupé par son entourage qui craignait à l’annonce de mauvaises nouvelles de lourdes sanctions ?
Nous connaissons tous le fameux axiome de von Clausewitz « la guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens…. ».
Ce Volodymyr Zelenssky, ce comédien promu Président, ne pouvait être qu’un fantoche, l’armée ukrainienne ne pouvait avoir aucune consistance morale et matérielle, le peuple n’était pas disposé à la soutenir.
Lourde erreur ; la résistance du peuple ukrainien est héroïque, la résistance psychologique est de très haut niveau , la guérilla, renforcée par l’arrivée massive d’armes plus efficaces, s’avère redoutable.
Et si l’armée russe ne brillait pas par l’enthousiasme patriotique ?
Dans son exil à Guernesey, à Hauteville House, le onze février 1863, Victor Hugo écrivait à l’armée russe:
« Si en plein dix-neuvième siècle, vous consommez l’assassinat de la Pologne, si vous faites cela, hommes de l’armée russe,……..vous soulèverez l’exécration du monde civilisé. Les crimes de la force sont et restent des crimes, l’horreur publique est une pénalité.
Soldats russes, inspirez-vous des Polonais, ne les combattez pas.
Ce que vous avez devant vous en Pologne, ce n’est pas l’ennemi, c’est l’exemple. »

À méditer.

LE NEVEU DE BALZAC 🧐