Combien d’Ukrainiens perdront la vie dans cette guerre de l’absurde voulue par un être assoiffé de pouvoir et dont, sans doute, la mégalomanie n’est pas mesurable.
Mais il ne faut pas tristement oublier celles et ceux qui mourront de faim, affamés par la pénurie de blé, de maïs, de l’huile et des tourteaux de tournesol.
Plus un navire ne quitte l’Ukraine ou la Russie.
Sur les pays du pourtour méditerranéen, d’Afrique, d’Asie, du Moyen Orient, «un piège géopolitique se referme«.
Et il n’y a pas d’autres recours, sècheresse du bassin méditerranéen, mauvaise année pour le blé en Chine….
Le désastre est attendu.
L’Europe vient de se rendre compte qu’elle va devoir revoir les assolements pour subvenir à ses besoins, c’est même une question de souveraineté.
Les grands de ce monde se posaient la question de savoir comment nous pourrions nourrir dix milliards d’humains en 2050.
Maintenant, ils doivent se demander comment subvenir à la subsistance de 7,5 milliard d’habitants.
Poutine n’est pas qu’un sinistre voyou doublé d’un tyran, c’est aussi un affameur de l’humanité.
Belle carte de visite !
A méditer.